20 ff, (folioté 20 en chiffres romains) Marque de l’imprimeur Josse Bade sur la page de titre. Daté aout 1518 au colophon. suivit de : (136 ff non paginés) daté au colophon Barbardinus Vitalis Venetus impremebat le 12 septembre 1528. Suivit de... In 4 plein vélin, dos à six nerfs estampé.
Alex Hugoni était originaire de Brescia était un moine de Mont Cassin. Ce dialogue sur la solitude orné d’une très belle marque d’imprimeur est imprimé en lettres italiques, sur un beau papier fin. Trois volumes relié en un petit in-4, Impression XVI e, reliure contemporaine en plein veau orné, estampé en à froid sur les plats supérieurs et inférieurs à motifs de losanges, contenus dans un compartiment rectangulaire, formés de fers à motifs végétaux (palmes). Le fleuron central et les fleurons d’angles sont argentés. Dos à cinq nerfs orné de fleurons dans les caissons, fleur de lys décorative en queue, coiffe supérieure absente, ranches rougies. Très belle réunion de textes du XVIe siècle, dans une belle reliure contemporaine.Le livre débute par une impression de Josse Bade (1461-1535) à Paris en , dont il porte la marque d’imprimeur représentant l’intérieur de son atelier avec deux ouvriers s’affairent sur une presse à percussion. ¬¬Imprimeur et libraire d’origine flamande, établit à Lyon et à Paris où il s’associe temporairement à Robert Estienne. Professeur en belles lettres dans les années 1490 à Lyon, il travaille comme correcteur et conseillé littéraire auprès des éditeurs lyonnais. A Paris, il entame une carrière d’érudit et ouvre en 1503 sa propre imprimerie rue des Carmes puis rue Saint Jacques, où, durant 33 ans il publiera plus de 800 titre, ce qui pour l’époque est considérable. Il édite le Stultifera Navis (La nef des fous), Erasme, Guillaume Budé, Champier, et a écrit un commentaire de Virgile ainsi qu’une Nef des femmes vers 1500.Les marques d’imprimeurs, laissées au libre choix des libraires deviennent obligatoires en France en 1545 afin d’éviter les contrefaçons. La plus part sont de type allégoriques ou énigmatiques, mais Josse Bade a choisis de présenter l’intérieur de son officine : on y voit trois compagnons au travail, le compositeur compose sa casse, en se reportant au manuscrit, le second actionne la presse, tandis que le troisième prépare l’encrage et le papier.
Paris, Jean Foucher, Grand in8. (8), 320 pages foliotées 159. Relié en plein vélin ancien.
Belle édition parisienne de la traduction du grec au latin par Denis Lambin. L'helléniste le plus réputé du XVI ème siècle. Une élégante impression parisienne, ornée de lettres majuscules gravées sur bois, sur vélin d'époque.
Paris, en la rue Saint Jacques à l'enseigne de la Vignes, Petit in-8 relié en plein maroquin vert, le plat orné d'une triple dentelle dorée délimitant un rectangle centrale. Dos plat frappé "passevent parisien dramatique" en long sur le dos....
Plaquette rarissime, l'une des plus violentes charge écrite contre Théodore de Baize et Jean Calvin, rédigé sous forme de dialogues. Ce pamphlet introuvable fut réédité en 1870 et n'est connu qu'a quelques exemplaires. Séduisante copie dans un beau maroquin de Derome.
Catullus, Tibullus, Propertius
Paris, 1529, In-12, plein veau havane, dos orné de fleurons, triple filet en encadrement des plats, tranches dorées.
Exemplaire aux armes (en partie frottées). Ex-libris. Frontispice gravé et vignettes.
Paris, Guillaume Chaudiere, 1588, (2bl), (12 ff.), 357 ff., (21ff), (3bl) In-8 en plein vélin à recouvrement de l’époque, dos plat, double filet en encadrement des plats, doré sur tranches, imprimé sur papier fin. Mouillure marginale sur le dernier cahier.Belle patine sur cette reliure contemporaine
L’Académie Française, principale oeuvre de La Primaudaye, est considéré par Stuart Gillespie comme l’une des sources d’inspiration de William Shakespeare pour sa pièce Peines d’amours perdues. Ce protestant angevin attaché à la maison du Duc d’Anjou, s’approche dans la forme des Essais de Montaigne, bien qu’il s’en écarte sensiblement, étant plus pieux que sceptique. Son ouvrage n’en est pas moins révélateur de l’esprit humaniste de la fin du XVIe siècle français.Un agréable exemplaire en vélin à recouvrement d’époque.
PARIS, Guillaume de La NOUË, 1584., Un fort volume, in-8 (180 x 115 mm), de (12) ff., 654 ff., (1) p., (10) ff., Reliure en plein veau fauve, dos muet à quatre nerfs orné au petit fer, plats frappés d’un médaillon central et d’un triple listel en à froid, fleurons dorés en angles, tranches jaspées. Reliure dont le dos a été restauré à l’imitation de l’ancien et plats d’origine conservés. Portait gravé de l’auteur. Illustré de trois étranges bois hors texte : « Figure de la création du monde », « Figure de titubation du firmament », Figure des saisons et Aages du monde ».
Un imposant volume aussi étrange que rare traitant de tout les sujets en rapport à l’occulte (démons, magie, phénomènes étranges et surnaturels, astronomie, légendes extraordinaires) le tout accompagné de curieuses remarques les usages de la vie commune « s’il faut philosopher à table avec preuve que l’œil est messager d’amour », « du combat en camps clos », « de la salamandre », « de la beauté », « que la barbe est la principale marque de l’homme », « l’Histoire admirable d’une jeune fille du costé de la quelle on tira un cousteau », « des bordeaux et de la bordellerie et paillardise qui jadis ont testé au Tabernacle et au Temple d’Israel » … Caillet, 3027 signale ce livre comme “Ouvrage très curieux et peu connu”.rovenant de la bibliothèque d’ Eric Gruaz.
PHRASES ET FORMULAE LINGUAE LATINAE ELEGANTIORES.
Strasbourg, Josias Rihel, (4),187,(1 bl),(4), 96 ff In-8 en plein velin rigide exceptionnelle reliure calligraphiée au nom de son propriétaire Paul Raffer 1594.Troisième édition strasbourgeoise non citée par Brunet, préfacée de Jean Sturm (1507-1589),fondateur de l’université de Strasbourg. La seconde partie, avec son propre titre intituléConnubium ad verbiorum est due à Hubert Sussanna. Plusieurs pages roussies dues à laqualité du papier utilisé, cernes épars, salissures sur les plats. (USTC 683991).
Etienne Dolet, imprimeur, humaniste et écrivain, fut condamné à avoir la langue arrachée et à être brulé vif au milieu de ses livres. L’exécution eut lieu le 15 aout 1546, Place Maubert, ayant fait amende honorable , il n’eut finalement pas la langue coupée. Cette même année 1546, quatre libraires furent brulés au même emplacement. Etienne Dolet défendait la langue française et en particulier la traduction en « langue vulgaire » de la Bible, ce qui fut un des des raisons de son supplice .Toute les éditions du XVIe siècle d’Etienne Dolet sont rares.
Appresso Guglielmo Rouillioappresso Guglielmo Rouillio (In Lyone) 1574, Manque la page de titre, 280pp, tavola 7ffIn 8 en plein veau brun marbré, dos plat orné de fleurons, pièce de titre en maroquin rouge, plats encadré d’un filet en à froid, tranche rougie, coiffe supérieure absente, quelques usures.
Une séduisante impression de Guillaume Rouille en italique illustré d’une multitude de bois gravés. L’ouvrage de Jove maintes fois réimprimé parut pour la première fois en 1555 à Rome. Le dialogue de Paul Jove est l’un des plus célèbre ouvrage d’emblemata du XVIe siècle. L’auteur y jette la théorie générale de l’emblématique et est à l’origine de l’art de la devise tel que celle ci c’est développé au cours des XVIe et XVIIe siècles. La devise doit être sérieuse dans son propos et divertissante dans sa forme, tant écrite que dessinée : Divertissante par sa réalité sensible qui flatte l’ouïe (musicalité du motto) allié à la beauté de l’image.
Par Hubert Goltz de Wirtzburg, paintre, Anvers 1561Au colophon : Anvers, Hubert Goltz, de l’Imprimerie de Gilles Coppenius de Diest,1559 In folio, veau brun estampé à froid sur ais de bois, jeux de filets et de roulettes en encadrement dessinant un rectangle central, armoiries dorées au centre du premier plat de Antoine de Roore abbé de l’Abbaye Saint Frappé, médaillon sur le second plat (armes de l’abbaye), traces de fermoirs, dos à nerfs. Reliure de l’époque.Complet (le feuillet final Gg4 blanc a été remplacé par le portrait de l’abbé de Antoine de Roore). Quelques rousseurs et mouillures en début et fin de volume Galerie de ver restaurée aux 8 derniers feuillets ; trous de vers sur l’ensemble du volume. Reliure frottée, quelques restaurations.
Première édition en français de cette spectaculaire publication, due au pinceau et au burin de Hubert Goltzius (1526-1583) qui à cette occasion inventa un procédé permettant de rendre en sépia une galerie de portraits des empereurs romains depuis Jules César jusqu’à Charles Quint. L’ouvrage s’ouvre sur un superbe cartouche renaissance en couleurs, chaque portrait pleine page imprimé sur le recto de chaque feuillet est surmonté d’une devise en caractères romains et d’une légende lapidaire sur le destin du personnage dépeint. Au verso de l’estampe se trouve une biographie de l’empereur. Un livre innovant dans son propos liminaire Goltzius explique le propos de son ouvrage : Donner vie aux « Princes, gouverneurs et empereurs » de l’empire Romain d’après les seuls documents dignes de foi – Les monnaies et médailles – préférant lorsque celles ci sont absentes, laisser un blanc plutôt que de combler comme il est de coutume la lacune par un portrait imaginaire. Pour ce faire Goltzius a inventé ce procédé nouveau afin de donner à chaque visage le plus de vie possible. Remarquable exemplaire aux armes d’Antoine de Roore, Abbe de l’Abbaye Saint Frappé sur le plat supérieur de son écu à trois fleurs de rose surmontées de ses attributs d’évêque et sur le plat inférieur des armes de l’Abbaye : Saint-Martin à cheval partageant son manteau.
A Paris, Pour Lucas Breyer, tenant la boutique au segond pillier de la grand’ salle du Palais, 1580., (27) ff, portrait gravé, 173 pp, (2) ff. In-8 en demi veau glacé bleu nuit daté en queue 1580
Un ouvrage de vulgarisation qui combat les préjugés et superstitions populaires liés à la science et à la médecine modernes. Le chap. XXII a par exemple pour titre : "Contre ceus qui iuget de la suffisance des medecins par le succes, qui et deu souuan à l'heur, plus qu'au sauoir". L'auteur liste également toute une série d' "erreurs populaires et propos vulgaires" qui ne manqueront pas d'amuser, citons notamment : "293. Pourquoy les fames s'anuyret mal aisemant, & les viehars facilemant.", ou encore "307. Et il vray, que la tristesse ampeche les fames de conceuoir ?"Le livre est écrit selon une très expérimentale (et curieuse) réforme de l'orthographe qui simplifie l'écriture.Cet exemplaire provient de la bibliothèque de Raspail, dont il porte le timbre humide sur la page de titre, ce qui est une rencontre signifiante compte-tenu des travaux de Raspail lui-même ; il publie notamment en 1845 son "Manuel de Santé à l'intention des milieux populaires".Un livre fort rare et fort curieux.
Paris, Abel l'Angelier, 1584, [Précieux exemplaire de Jacques LACAN. Un des traités les plus ancien sur les hiéroglyphes donnant l’interprétation des songes et significations de rêves énigmatiques.] (4ff) ; 1-19ff ; (2ff) ; 20-112ff 2 parties en un volume in-4 en couverture d’attente avec le titre manuscrit de la main de Lacan sur le plat supérieur.
Pierre Langlois de Belestat ami et admirateur de Ronsard s’intéresse aux hiéroglyphes égyptiens, « car les égyptiens désireux de sauvegarder les secrets des mystères mettaient à la porte de leur temple des Sphinx voulant dire que toute théologie contient une parole énigmatique des secrets de sapience. »La signification des hiéroglyphes peut s’appliquer aux devises et aux rêves : « Ne voit-on pas encore sur toutes les entrées des temples que nos bons pères ont représentés une grande verge que tient un grand Saint Christophe (…). Ce qui peut être hiéroglyphiquement interprété qui est que : si nous voulons retrouver la parfaite sapience (…) il nous convient diligemment étudier pour que nous surmontions les rivières, c’est-à-dire certains mouvements et voluptueuses affections de l’esprit et par cette grande verge – le grand bâton de Saint Christophe – nous entendons la science sans laquelle il ne faut pas passer outre. »Pierre Langlois était médecin, cet ouvrage est extrêmement rare.En 1957 Jacques Lacan, s’exprime sur le sens du langage :« Voyez les hiéroglyphes égyptiens : tant qu’on a cherché quel était le sens direct des vautours, des poulets, de bons hommes, debout, assis, l’écriture est demeurée indéchiffrable. C’est qu’à lui tout seul, le signe vautour ne veut rien dire, il ne trouve sa valeur signifiante que pris dans l’ensemble du système auquel il appartient (…). Le psychanalyste n’est pas un explorateur de continents inconnus ou de grands fonds, c’est un linguiste : il apprend à déchiffrer l’écriture qui est là, sous ses yeux, offerte au regard de tous. Mais qui demeure indéchiffrable tant qu’on ne connaît pas les lois, la clef. »Rare et important ouvrage sur le monde des rêves et la symbolique des signes (1583 !) ayant appartenu au maître incontesté de l’interprétation du sens, des mots et des signes.Provenance : Jacques Lacan
In Venegia Appreso Gabriel Giolito de Ferrari 84pp (3) Agréable exemplaire In 8 relié en vélin à l’imitation de l’ancien, traces d’annotations. Très belle marque d’imprimeur sur la page de titre et en fin d’ouvrage avec la devise de l’imprimeur vénitien «De la mia morte, eterna, vita io vivo. Semper eadem»«de ma mort, éternelle, la vie que je vis. Toujours le même»
Ce poète et libérateur vénitien est une parfaite illustration de la littérature italienne de la renaissance. Écrivain prolifique il laissa 71 ouvrages dan les genres les plus divers, histoire, grammaire, philosophie poésie. le livre écrit dans une délicate italique est orné de charmantes initiales historiée : faune poursuivant des naïades, amoureux au bain, musiciens etc. Dolce propose une réflexion sur l’éducation des femmes présentée sou s la forme d’un dialogue entre l’homme «Flaminio» qui expose sa théorie sur l’éducation es femmes à «Dorothea» une veuve.Le Dolce s’appuie sur le traité espagnole de Louis Vivés qui s’appelle De institutions Foeminae Christianae (1523). Bien que rigoureux et normatif Dolce s’oppose à Vivés et stipule que les femmes peuvent avoir accès à la littérature vernaculaire.L’idéal féminin que propose Dolce s’adresse aux trois états de la femme : La vierge la femme mariée, et la veuve et reflète les préoccupations du siècle après le concile de 30. Il s’agit bien d’une avancée par rapport au très autre traité se Louis Vives que propose Ludovico Dolce.
Lyon, Apud Ioannem Frellonium 1559. (Symphorianus Barbierus pour Jean Frellon), 335pp Petit in 8, reliure en plein veau d’époque avec d’importantes traces d’usure, et frappé à l’or d’un cheval ailé sur les plats supérieurs et inférieurs. Doré sur tanche, imprimé en italique.
Édition rare distribuée par le libraire Jean Frellon portant sa belle et étrange marque : un crabe brandissant un papillon entre ses deux pinces – symbole de résurrection. L’exemplaire est revêtu d’une intéressante reliure lyonnaise frappée d’un pégase doré, malheureusement dans un état d’usure assez prononcé. Un livre vierge de toute restauration et particulièrement attirant.
Lyon, Jan De Tournes 1555, (8), 296 p., (6) In-8 en demi veau blond (reliure du XIXè s. signée David). L’exemplaire a été rogné un peu court en tête.
Illustré de 51 petits bois, attribués à Bernard Salomon, dont 45 dans Obsequent, et 6 dans Polydore. Grandes lettrines gravées sur bois, et ornements typographiques en tête et fin de chapitres. Première édition de la traduction de la Bouthière. Ce texte parut pour la première fois en 1508, à la suite des Plinii epistolae. "Très belle édition bien supérieure comme exécution à celle italienne donnée par de Tournes en 1554" (Cartier).
Devises heroïques, Par M. Claude Paradin Chanoine de Beaujeu.
Jean de Tournes & Guillaume Gazeau, Lyon, 1557, 261pp, Illustré de 182 emblèmes gravées avec textes en Latin: 104 gravures de la 1re édition, 8 gravures refaites et 70 nouvelles, attribué à Salomon Bernard. In-8 plein maroquin bleu nuit, plats richement encadrés d'un triple listel et dentelle doré, dos à cinq nerfs orné, riche roulette et filets dorés intérieurs, tranches dorées sur marbrures (Trautz Bauzonnet)Aux armes non identifié ("A TOUT" premier marquis de france)
Seconde édition augmenté des devises héroïques de Paradin, sorti des presses de Jean de Tournes en 1557. Le Paradin est un des plus beaux livres d'emblème publié au XVIe siècle. D'une esthétique délicate éminemment renaissance cette édition latine et française donne dans une belle italique la signification cachée des devises et des illustrations. Cet ouvrage rencontra immédiatement un grand succès et fut réimprimé jusqu'au XVIIe siècle. bel exemplaire dans un plein maroquin bleu nuit, signé de, a été truffé de plusieurs bois gravés du début du XVIe siècle, mais malheureusement abondemment annoté au stylo bille de couleur par un érudit latiniste et manifestement peu bibliophile.
Helmstät, sur les presses de Jakob Lucius, 268 folios
Exemplaire de choix dans une magnifique reliure en plein maroquin olive. Dos plat orné de 5 fleurs de lys frappées à l'or dans les compartiments séparées par un double listel frappé à l'or. Doré sur tranches. Petit manque de trois centimètres sur la chasse supérieure du premier plat. Un léger défaut e coiffe supérieure sans manque. Très bel exemplaire.
Giovambatista, Sessa Fratelli, Venezia, M D LVI (1556), pp. (8), 438; ff. 33, (1), 60. In-4 plein veau brun, docs à cinq nerfs ornés de fleurons, pièce de titre, au centre de chaque plats figure une belle armoierie frappée, Ex-libris armorié en pleine page en faux titre. Exemplaire légèrement passé (page de titre restaurée) Texte latin glosé en langue toscane, dans une mise en page intéressante.Reliure d'époque armorié aux armes de Bouthillier Bretagne XVIIe, écartelé aux armes de Bouttilliers 1; au 2 Le bouteiller et 3 de Bretagne et au 4 à la croix de gueule.Ex-librils armorié en faux titre aux armes de Bouthiller de Chavigny d'azure à trois fusées d'or, rangées en face. Il s'agit de Léon Bouthillier qui fut le grand trésorier des ordres du roi, ministre d'état (1608-1652)
Térence (190 - 159 av. J.-C.), est un poète comique latin, auteur de six pièces il influencera le théâtre européen de l'Antiquité aux Temps modernes.
Fin XVIe siècle Belle épreuve légèrement jaunie, coupée au sujet avec des accidents restaurés au verso, petit manque. 31 x 22,8cm. Filigrane à la crosse la Bâle dans monogramme utilisé au XVIe siècle de 1520 à 1606, Gaudriault, Filigranes (…) p119 N° 488. Avant la signature te l’inscription sur la dalle. Portrait médaillon représentant Michel-Ange, le visage tourné vers la gauche, mention « MICHAEL ANGELUS BONAROTUS PATRICIUS FLORENT AN ANGENS LXXIII »C’est surtout par la gravure, permettant d’avoir une vue d’ensemble du jugement dernier, que la fresque de Michel-Ange obtint une reconnaissance universelle. Ce qui explique la prolifération des copies tout au long du XVIe et XVIIe siècle de cette œuvre majeure. Bel exemplaire ne tirage du XVIe siècle avant la lettre et d’un très bel encrage.